Des frites ou Kadhafi ?
À part ça, soyons clairs : jeudi, j'ai repris deux fois des frites, la fin atroce du dictateur Lybien ne m'ayant guère coupé l'appétit car je manque totalement de compassion et d'empathie envers un certain type de personne.
N'empêche.
Moi, j'aime pas les lynchages, grommelait le Klingon grognon.
Tous les lynchages.
Même pas celui-là.
Et je ne comprendrai jamais l'idée de catharsis dans le sang et la fureur aveugle.*
Sans compter que je serais la France, voire les États-Unis, ben, je la ramènerais pas.
* Faut croire que je suis trop apollinienne et pas assez dyonisiaque.