L'aveu.
Bon.
Vous vous en doutiez, hein ?
Mes Chroniques Imaginaires l'étaient vraiment.
J'ai voulu fêter ainsi l'arrivée de ma centième note de blog.
Non c'est beau un Vampire la nuit, n'a jamais et ne sera jamais édité par personne (ouf) et si quelqu'un est tenté par l'idée, il est prié de ne pas me le faire savoir, j'ai assez de culpabilité comme cela à traîner sur mon dos.
Quant aux deux autres "La Grève des Sables Inconstants" ainsi que "Transes" , ce ne sont rien de moins que des masques pour le "Rivage des Syrtes" de Julien Gracq et "La Métamorphose" de Kafka.
Des intouchables donc et je vous rassure, de fait, j'adore ces deux livres, en vrai, dans la vraie vie.
Ainsi aucun bouquin de Mainstream n'a été réellement blessé pendant le tournage.
N'empêche c'était rigolo d'endosser pour trois jours la toge du plumitif aigre et de me livrer avec alacrité aux travers les pires selon moi du critique de base :
-- La basse insinuation perso
-- La coupe du bouquin
-- La réécriture du bouzin à la place de l'auteur.
Une remarque: j'ai voulu endosser la tunique du laudateur extasié et bizarrement ce fut plus difficile, je n'y suis pas arrivée, pas de façon mécanique comme dans les trois exemples précédents. À croire que si je peux feindre la colère sans aucun souci, je suis incapable de simuler l'orgasme.
J'ai bien ri, cela dit et s'il est vrai que la méchanceté conserve, je comprends mieux certaines choses...
C'est toujours ça de gagné.
Je retenterai le coup, je vous préviens, mais cette fois vous le saurez, le jeu sera de savoir à ce moment-là de quel bouquin je cause.^^
Bonne semaine à tous