Nique ta mère (et ton père, on sait jamais)
Il n'y a pas d'excuse à l'avortement, seulement une très bonne raison, toujours la même : l'enfer sur terre attend l'enfant non désiré et ses parents.
Il n'y a pas d'excuse à l'avortement, seulement une très bonne raison, toujours la même : l'enfer sur terre attend l'enfant non désiré et ses parents.
Table ronde réalisée pour le colloque éponyme encompagnie de :
Charlotte Bousquet, Fabien Clavel, roi des ichtyocentaures, Alain Damasio et Catherine Dufour :
Ceux qui me rendent visite
Me font honneur ;
Mais ceux qui me quittent
Me font plaisir.******
Variante 1 :
Au bout de trois jours, puent l'hôte et le poisson.
Variante 2 :
Les étrangers m'ennuient, et j'entends par étranger tout ce qui n'est pas votre père et moi.
* Terrible Grand-Mère du Sud-Ouest**
** PJ***
***Private Joke****
****VPJ*****
*****Very Private Joke
****** La misanthropie, ça se travaille jour après jour, et de génération en génération.*******
******* Le GP de la TGMdSO était connu pour se réfugier dans les greniers à tabac du plus loin qu'il voyait arriver les amies de sa femme. On ne l'en faisait descendre qu'en jurant sur une tombe quelconque que les envahisseuses s'étaient trissées. Sa mère (à la TGMdSO) , quand on sonnait à la porte, mettait son manteau, son chapeau et ses gants puis ouvrait enfin, les clés de la bagnole à la main. Typo "J'allais sortir". Lorsque l'importun s'imposait tout de même (avec un courage notable) elle finissait par se trouver mal.
— Tu fais encore des frites ?
— Ouais.
— Tu sais que c’est la troisième fois en quinze jours ? Ça va encore sentir l’huile dans toute la maison…
— Ouais. L’huile recuite, c’est l’odeur de la démagogie alimentaire.
— Putain de cloches ! Je te jure, j’écris au maire, là, ça va pas traîner ! J’ai porté plainte contre le voisin l’an dernier et il a viré ses poules ! Ses vaches aussi d’ailleurs, rapport aux mouches. C’était l’enfer ici avant que j’arrive ! Maintenant, c’est presque vivable.
— Moi, dans mon nouvel immeuble, y’a des chinois qui jouent au go toute la nuit en claquant les pièces sur le plateau avec de grands cris et des africains qui font de la cuisine bizarre…
— Tu vas les mettre au pas, j’imagine ?
— Non. Perso, je rêve pas d’apporter La Civilisation à des gens qui ne m’ont rien demandé. Surtout pas d'aller habiter chez eux.
Je fais ça très rarement vous en conviendrez, (poster des critiques de mes écrits) mais ce n'est pas tous les jours que j'ai une critique dans Libération, un vrai journal papier qui salit les doigts, sans faire pleurer les yeux.
Alors je biche et je viens le faire ici
"Lady Ann Kelvin, vieille Anglaise acariâtre, biologiste écowarrior, agonise à l’hosto quand un ancien élève et ami vient lui proposer de transférer son esprit dans un nouveau corps. La transmnèse permet un sursis de vie de trois ans maximum. L’Anglaise va se retrouver implantée dans un cachalot mâle de près de quarante tonnes depuis lequel, grâce à des outils de communication dernier cri, elle luttera contre la chasse aux cétacés..." La suite par ici
— Tu fous quoi ?
— J’écris un article à propos de la SF en tant que pratique pédagogique ; je me sens dans les écailles d’une carpe à qui on a demandé de disserter sur l’eau
— Je vois : c’est toute ta vie…
—… Et j’ai rien à en dire.
— Le 14 juillet me fait toujours un drôle d’effet. J’aime bien, mais je sais pas pourquoi.
— Ah bon ?
— Ouais, si tu regardes bien, y’a tout ce que je déteste : du bruit, des pétards, des types bourrés partout, des défilés militaires, des avions de chasse, des hélicoptères camouflés, le bal pompette et ponpom des pompiers, la musique débile qui va avec, bref un symbolisme patriotard et guerrier hyperlimite et surtout puéril...
— Des feux d’artifice…
— Les feux d’artifice ! C’est ça !
— Allo, salut c’est moi, ça va ?
— Boaf, j’suis en Bretagne, il pleut.
— Moi, j’suis dans les Landes, et il fait un temps radieux.
—…
— Mais non, je déconne !